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Concours actuel Concours Poème libre.....du14 au 28 Avril 2024

Lyseronplus

membre du staff
#1
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Concours 14 au 28 avril 2024

Résultats 30 Avril 2024

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Thème : Poème libre...

Choisissez un de vos poème préféré,
Prenez le dernier mot de chaque vers de ce poème ( dans l'ordre ) et à votre tour
Composez un autre poème... ( en respectant l'ordre des mots relevés et les rimes du poème choisi )
Sous votre nouveau poème mentionner : le nom du poème choisi et son auteur.


( Le choix d'un poème court est préférable )

Exemple :

Demain, dès l'aube

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.


Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.


Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.


Victor HUGO

ci dessous, exemple avec les mêmes mots que celui de Victor Hugo

Mélancolies...

Je me souviens d'une balade dans la campagne
Espérant y revenir même si personne ne m'y attends,
Mon âme, encor emplie de toi, gravit la montagne
D'espoirs endormis, hélas ! il y a bien longtemps...


Comment ai-je pu t'oublier ? voyant ces pensées
A peine décolorées, qui doucement et sans bruit,
Ont immortalisé nos routes qui se sont croisées,
Ainsi que les étoiles en nos yeux, folie d'une nuit...


Un frisson me parcourt tout entière et je tombe
Au gouffre mélancolique de ce chemin d'Harfleur
Glaçant mon cœur, d'un instant couleur de tombe
Où s’évanouissent les parfums des roses en fleur...


Lys

( Le choix d'un poème court est préférable )

Consignes

Veillez à l’orthographe, aux concordances des temps,
aux répétitions, à la ponctuation...


Attendre les résultats avant de poster sur votre page, vos poèmes participants au concours.
Vous pouvez m'envoyer 3 poèmes, ainsi qu'un hors concours sur ma MP.


Si vous désirez être juges, en faire la demande sur ma messagerie....Merci


Belle inspiration à vous.....Lys



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PARTICIPATIONS


1) Le fou baudet.

Pour un bout de territoire, deux états se battaient,
Mais l’un voulait le garder et surtout pas le vendre,
Dans la tête de l’agresseur, ces idées trottaient,
Quand l’attaqué ne pensait qu’a se défendre.
A l’insu de son peuple ce drôle de larron
Beaucoup le prenait pour pitre Aliboron,
Qui veut de son voisin acquérir une province,
Au milieu de sa cour, il trônait comme un prince.
Ne ressemblant en rien au calme d’un braque hongrois,
Ça ne suffisait pas, il en envahit deux ou trois.
Confisquant à l’autre état l’envoi de marchandise,
Occupant une terre aujourd’hui mal conquise,
L’ensemble du monde ne le trouvait pas très net,
A vouloir se cabrer comme un insensé baudet.


D’après '' Les voleurs et l'âne "
de Jean de
LA FONTAINE



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2) L'automne de ma vie.

Ma jeunesse ne fut qu'un nébuleux orage.
Navigant ça et là, sous d'éclatants soleils;
La tempête et le gel ont fait un tel ravage;
Qu'il reste à mon verger peu d'agrumes vermeils.


Car c'est déjà l'automne au bout de mes idées;
Il ne me reste plus qu'à prendre le râteau.
Afin de nettoyer ces zones inondées.
Avant que le trop-plein se transforme en tombeaux.


Et si prochainement, cet univers de rêve.
Devenu aujourd'hui comme un grand champ de grève;
Parvenait à reprendre un peu de sa vigueur?


Et que cet imprévu, qui contrôle ma vie ;
Est sans aucun répit, restera dans mon cœur;
Toujours un peu d'espoir, qui lui se fortifie!

Inspiré par " L'Ennemi "
de Charles
BAUDELAIRE



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3) Un bel hommage.

Comme on voit au printemps chaque saison la rose,
En toute sa beauté, en sa première fleur,
Rendre un hommage au ciel de sa vive couleur
Quand l'aube au petit jour, de sa fraîcheur, l'arrose.


Cette flamme éternelle et d'amour se repose.
Parfumant les jardins et les forêts d'odeur;
Mais vaincue, ou de pluie, avec beaucoup d'ardeur;
Nonchalante, elle meurt, son pétale déclose.


Ainsi, en ton bel âge et jeune nouveauté.
Quand l'horizon, le ciel, vénéraient ta beauté.
Le destin t'a tué, aujourd'hui tu reposes.


Pour obsèques, reçois mes souhaits et mes pleurs;
Ce broc rempli de lait et ces bouquets de fleurs;
Pour que, vivant ou mort, ton corps ne soit que roses.


Inspiré par "Comme on voit sur la branche"
de Pierre de
RONSARD



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4) Les géants des mers.

Voulant se divertir, les gars de l'équipage
Décident d'embarquer certains géants des mers ;
Qui marchent, nonchalants, compagnons de voyage ;
Le bateau prolongeant les repères d'amers.


Aussitôt les ont-ils amené sur les planches.
Que ces rois de l'Ether, godichon et honteux.
Laissent négligemment leurs grandes pennes blanches.
Au milieu du chemin, traîner à côté d'eux.


Ce volatil marin, trop malhabile et veule ;
Jadis, il était beau, qu'il est loufoque et laid !
L'un écarte son bec et met un brûle-gueule !
L'autre se rit de lui, l'impotent qui volait.


Le rimailleur ressemble au Seigneur des nuées.
Qui harcèle le vent et méprise l'archer ;
Émigré sur cette île au centre des Huées ;
Sa taille de géant le freine pour marcher.


Inspiré par " L'Albatros "
de Charles
BAUDELAIRE



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5) La statue ébréchée.

Mettre un chapeau sur un marbre perché,
Faisait un son sec sur ce fromage,
Mettre un foulard pour ainsi l’allécher,
Lui vint ce propos de langage,
« Ho ! Que faite vous odieux corbeau,
C’est très impoli et vous n’êtes point beau,
De corps beau vous avez le ramage,
Caché sous ce noir plumage,
Vous êtes classé X retournez dans vos bois,
Pour ces maux, le robot en est rempli de joie,
Ainsi démontrer sans voix,
Que ce fromage n’était qu’une simple proie,
Le marbre amoché était statue du monsieur,
Et semblait moins flatteur,
De mes hauts cris, restez donc à l’écoute,
Madame va avoir une rage folle, sans doute,
Ses enfants en seront tout confus,
Constater les dégâts fait monter la tension en plus.


D’après " Le Corbeau et le Renard "
de Jean de
LA FONTAINE


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6) Vers les fleurs et le turquoise

Ni couleur, ni sens, ne sortiront de ton nom
Lâches amères sont les misérables lointaines,
Car vivre dans son époque aux statues humaines,
Restera le prix d'un Sphynx au nez aquilon,


Mes souvenirs sortiront, pensées incertaines,
Faisant vibrer l'accord, harmonie du tympanon,
Qui ne pourra plus nier l'originel chaînon
De l'incessante torture aux roues hautaines ;


Rien ne cache ton passé au spectre profond
Si ce n'est l'Océan, et la Terre, qui te répond !
Votre liberté révolue lit l'éphémère,


Celle de mon bon vouloir, contre un fou serein
Troquer mon diapason de l'abyssale amère,
La plus belle des beautés au destin d'airain !


D'après "Je te donne ces vers ...."
de Charles
BAUDELAIRE



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7) Les feux de l’été

Le signal, ayant chanté
Le feu d’été,
Nous trouva au dépourvu
Quand la braise est venue.
De la forêt en morceaux
Des souches, tuèrent les vermisseaux.
Sans glands, hurlèrent en famine
Avec ses copines ses voisines,
Cherchant avec elle de prêter
Attention aux mets pour subsister
Recherchant plaine nouvelle.
J’éteindrai la menace dit-elle,
Faut s’entraider entre animal,
Ma trompe souffla le principal.
L’éléphante entend être prêteuse,
Pour estomper tous ses défauts,
Ses oreilles ventilant les vents chauds,
Cherchant avantage en emprunteuse.
Changeant terre en herbe venant.
Qu’aux animaux ne leur déplaise.
Vous retrouviez enfin toute votre aise.
A vous de jouer ! Maintenant.


D’après " La cigale et la fourmi "
de Jean de La
FONTAINE




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8) La femme sirène

Toi, la femme Sirène, tu chériras la mer !
Tu seras le miroir reflétant ton âme.
Sur ta peau, les reflets seront tes flammes.
Dans ton cœur, il y a ce goût amer.

Tu te noies dans les tréfonds de ton image.
Du bout des lèvres, tu lui offres ton cœur,
N’écoutant aucun bavardage ni rumeur,
Certes, tu n’es pas non plus sauvage.

Elle aime quand se croisent vos regards discrets,
Et partent peu à peu, effleurant l’abîme,
Elle garde au fond de son cœur les mots intimes,
Ces mots façonneront son propre jardin secret.

Où ses rêves seront alors innombrables,
Pour lesquels, elle saura se battre sans remord,
Elle n’aura plus peur ni des naufrages ni de la mort,
Son cœur, son âme deviendront alors implacables !

D’après.... " L’homme et la mer "
de Charles BAUDELAIRE



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9) Espoir -

Laisse venir ta peine, laisse donc pleuvoir
Sur tes joues ces larmes, caresse d’ondée
En lisant cette lettre, d’une main accoudée
Où le mot disparu, est le seul que tu sais voir


Tremblement, tristesse, un voile d’ombrage
Vient inexorablement te fermer les yeux
De tes sanglots émane une supplique aux Cieux
Que ne soit pas réel ce douloureux orage


Dans ton esprit résonnent encore ses mots doux
Un avenir radieux à vivre de belles choses
Demain il serait venu avec une corbeille de roses
Un trait d’espoir t’éclaire ; il sera au rendez-vous


D'après " La jeune fille et le ramier "
de Marceline Desbordes Valmore



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10) Empreinte Céleste -

Ce qui nous lie ? L’Amour que nous sommes
Qui se déploie comme un lotus en fleur
Il émerge du néant nourri par le Cœur
De toutes les femmes et de tous les hommes
Une empreinte Céleste en chacun survit
Comme dans les livres Sacrés on le dit


Mais la matière, nos sens, la pensée
Occultent la vision du dessin harmonieux
Le plan de retour au berceau des dieux
Au-delà du pêché, d’une parole offensée
Et ce sont les aléas de la Vie qui souvent
Nous ramènent sur le chemin d’un amour vivant


D'après " A Sainte-Beuve "
de Alfred de
MUSSET




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11) Des amoureux…

Amour, je veux te voir, allume la lampe
Dessus, dessous dans le noir, me suis cogné la tempe
Nos jeux sulfureux, ces plaisirs aimés
Amènent d’autres désirs, sans les yeux fermés


S’émerveiller du regard, toute la soirée
De nos corps s’offrant, ma Venus adorée
Aller confiants, joyeux, jusqu’au bout de la nuit


Vivre ces jouissances, dont la faim nous poursuit
Que s’étiolent enfin, et demeurent vaines
Nos peurs de s’étreindre durant des semaines


D'après" Le foyer, la lueur de la lampe "
de Paul VERLAINE




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12) Sur la plage

-Son regard divague, et vous, marquis,
Tu soignes si peu l’allure de ta perruque.
-Auriez-vous un peu abusé du vin exquis
Au point que de la sueur longe votre nuque.


-De ton instrument… j’entends Do, mi, sol, la, si,
Sur tes lèvres, j’aperçois un sourire que tu dévoiles !
- Votre air a un tel pouvoir sur moi, près de vous me voici
J’aime les échos de tous ces airs s’émanaient sur les toiles.


-J’aime ton art lorsque tu te réinventes musicien,
Sur la plage, tu joues jusqu’aux premières lueurs de lune,
Chacune de tes notes, me font tellement de bien,
Rêvant d’aller, un jour, jouer sur une plage de Pampelune.


D’après le poème « Sur l’herbe »
de Paul VERLAINE



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13) Coup de foudre

J’ai une seule fois, entrevue, respiré
Son parfum envoutant, vibration, gourmandise,
Ce Dieu nous tend la main, emplirait une église,
Flamme immense de son regard invétéré.


Infime ressenti, la rencontre nous grise
En message échangé d’un présent restauré
Le sonnet frétille et chante mon adoré
En vers tendres parfumés douce amante exquise.


Vous êtes fine dentelle à l’envers lourds
Fragrance du myrte heureux encense l’alcôve,
Paradis de l’ébat infatigable et fauve,


Merveille vénusté aux contours de velours
Derrière l’amour s’affiche la grâce pure ,
De ma signature une seconde fourrure.


D'après " Le parfum "
Charles
BAUDELAIRE ( 1821 - 1867 )



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14) Voyage

Après avoir joui de mon pays natal,
Et laissé derrière moi les façades hautaines,
La marée pleine attend marins et capitaines,
Quand la forte houle a un caprice brutal.


S’éloignent les navires châteaux de métal
En regardant le ciel et les côtes lointaines,
Libéré des amours, et fuyants leurs antennes,
Quand l’Alizé porte le monde occidental.


L’antique sirène en chevauchées épiques,
Chante ses nuits aux âmes damnées des Tropiques,
En somnolence rêve d’un futur doré.


Le moqueur gorge-blanche m’ouvre Les Caravelles
S’agite en tête de mât longtemps ignoré,
Beau passereau intrépide d’aubes nouvelles.


( La Caravelle est une presqu’île de la Martinique.
j’ai changé le nom pour la rime )


D'après " Les conquérants "
de José-Maria de
HEREDIA (1842 - 1905)




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15) Le Gitan

Gitan surréaliste avance
Dans les méandres de ses nuits
L’arme au poing dans un soupir puis
Dans sa dangereuse espérance


Rebours des mots longtemps privé
Du don de présence voulûmes
Le déshabiller de ses plumes
Image pieuse en Avé


Les pleures sur l’autel le damne
Il garde en son cœur le chemin
Fille et femme main dans la main
Il retrouve sa mie tzigane.



D'après " La tzigane " ( Alcools 1913 )
Guillaume
APOLLINAIRE






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Hors concours
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Arthur, mon Amour........Eden de Samsara

Un ciel rose a repeint du Baou les sentiers
Pour vénérer des yeux sur la mousse menue
L'arbousier enlacé d'une ombre jusqu'aux pieds
Amant inséparable de la nature nue


Et renait le grandiose comme un défi au rien
Les oiseaux se sont tus et l'harmonie de l'âme
Se berce au vent des fleurs d'un printemps bohémien
Qui soulève d'Amour le parfum d'une Femme


D'après " Sensations "(1870)
de Arthur
RIMBAUD


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Mélancolies.......Lys

Je me souviens d'une balade dans la campagne
Espérant y revenir même si personne ne m'y attends,
Mon âme, encor emplie de toi, gravit la montagne
D'espoirs endormis, hélas ! il y a bien longtemps...


Comment ai-je pu t'oublier ? voyant ces pensées
A peine décolorées, qui doucement et sans bruit,
Ont immortalisé nos routes qui se sont croisées,
Ainsi que les étoiles en nos yeux, folie d'une nuit...


Un frisson me parcourt toute entière et je tombe
Au gouffre mélancolique de ce chemin d' Harfleur
Glaçant mon cœur, d'un instant couleur de tombe
Où s’évanouissent les parfums des roses en fleur...


D'après " Demain dès l'aube "
de Victor
HUGO


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Durant votre vie vous ne fûtes que jalouse.......LLumièrelive

Durant votre vie vous ne fûtes que jalouse,
De l’azur jusqu’au brin d’herbe de la pelouse,
Ombrageuse des parfums et beautés des fleurs,
Votre âme envieuse souffrait de viles douleurs.
Vous vouliez paraitre aussi droite que les arbres
Mais votre froideur nous laissait comme des marbres.
Face à votre chagrin nous ne fûmes qu’ingrats
Et vous laissions larmoyer seule dans vos draps,
Ne voulant écouter propos et songeries
Qui martelaient sans relâche vos causeries.
Dépourvu d’émotivité, nu comme un ver,
Votre dédain était plus rude que l’hiver,
L’hostilité vis-à-vis de votre famille
Vous a peu à peu cloitrée derrière une grille.


Engrenée jour après jour et soir après soir
En ce tourbillon malsain qui osait s’asseoir,
Où la cupidité, de janvier à décembre,
Se fortifiait entre les murs de votre chambre,
Affectée par votre égocentrisme éternel
Ne fûtes affligée d’aucun émoi maternel,
Inapte à toute effusion charitable et pieuse
En cette tare votre conscience fut creuse.


d'après
" La servante au grand cœur ..."

de Charles BAUDELAIRE

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Le matin des adieux....... MATTHALE

Jadis jeu de l'esprit fut un défi exquis,
Esprit brûlant, en quête d'éternel répit,
Exil profond, dans l'âme sombre épris,
Éternel combat, où l'espoir s'assoupit.


Rêves effacés, dans le silence infini,
Cris étouffés, dans l'abîme sans merci,
Sens égarés, dans l'obscurité proscrite,
Éclats brisés, dans l'oubli qui s'édite.


Lumière vacille, sur l'horizon pâli,
Déchéance tranquille, dans l'ombre qui sourit,
Étoile filante, dans le ciel obscurci,
Infime élan, vers l'inconnu repris.


Sous l'emprise des mots, l'âme s'épanouit,
Mélancolie, écho, où le temps s'évanouit,
Regard voilé, sur l'abîme établi,
Errance éternelle, où l'esprit s'unit.


*Quand le mauvais sang,
Des nuits d'enfer illusoires,
Se brise sur la vierge folle,
Et l'époux infernal, délires,
Dans l'impossible éclair,
Du matin des adieux.*


Extraits de rimes du long poème: "Une Saison en Enfer"
de Arthur
RIMBAUD


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Madame.....Williams Lecornier

Si demain, je pouvais vous octroyer l'empire.
Vous décrochant la lune en étant à genoux.
Pour vous offrir ainsi les vertus du porphyre ;
Espérant que la mer seule pourra suffire.
Pour être auprès de vous.


Je vous emmènerai bien au-delà des ondes.
Maléfiques parfois, donc je ferais ma loi.
Supprimant les douleurs aux tristesses fécondes ;
Sous un ciel toujours bleu, bien loin de tous ces mondes.
Pour être aimé de toi


D'après Victor HUGO
" À une femme. "



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Dernière édition:

Lyseronplus

membre du staff
#2
C'est ce que j'ai fait mais cela n'apparaît pas ? je ne comprends pas pourquoi.... j'ai aussi la page du concours d'avant qui apparaît sur ma page en plusieurs exemplaires ? et ça recommence pour ce concours ? mystère et boules de gomme:D
Amicalement....Lys
 

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#8
14 ? C'est tout ? ^^ Plus d'inspi les gens ?
Comme déjà dit, j'aime beaucoup :)
C'est un beau concours, mais il reste un record à battre: le records de participants, pour un site amateur, c'est beaucoup je crois X)
Mais y a matière :D
Courage et bonne chance à tous ^^